Vendre sur Internet attire de nombreux particuliers. Mais faut-il créer une entreprise pour le faire légalement ? Découvrez les règles, les seuils, et les statuts adaptés pour lancer votre activité e-commerce sereinement.
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Doit-on créer une entreprise pour vendre en ligne ?
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Haniel C.
La vente en ligne explose en France. Avec plus de 150 milliards d’euros de transactions en 2023, le e-commerce attire chaque jour des milliers de particuliers tentés par l’aventure entrepreneuriale. Vous vendez quelques objets sur Vinted ? Vous envisagez de lancer une boutique Shopify ? La question se pose rapidement : avez-vous vraiment besoin de créer une entreprise pour vendre sur Internet ?
La réponse n’est pas binaire. Tout dépend de la nature, de la fréquence et du volume de vos ventes. Revendre occasionnellement des biens personnels reste autorisé sans formalité. En revanche, dès que l’activité devient régulière ou lucrative, l’immatriculation devient obligatoire. Ignorer cette règle expose à des sanctions fiscales et sociales lourdes.
Cet article vous guide pas à pas. Vous comprendrez quand la création d’entreprise devient nécessaire, quel statut juridique choisir, et comment démarrer légalement. Si vous envisagez de structurer votre projet, notre expertise en création de sites e-commerce vous accompagne à chaque étape, de la conception technique à la mise en conformité.
Nous verrons d’abord ce que la loi autorise sans entreprise, puis les seuils déclenchant l’obligation d’immatriculation, et enfin les statuts juridiques adaptés à votre situation.
Vendre sans entreprise, ce que la loi autorise vraiment

Beaucoup de Français vendent en ligne sans se poser de questions. Pourtant, la frontière entre vente occasionnelle et activité professionnelle est précise. Comprendre cette distinction vous évite des ennuis avec l’administration fiscale.
Vente occasionnelle : la tolérance du particulier
La loi tolère la vente entre particuliers sans immatriculation sous certaines conditions strictes. Vous pouvez revendre vos biens personnels usagés sans créer d’entreprise. Cela concerne les vêtements, meubles, livres ou appareils électroniques que vous avez utilisés.
Les critères sont clairs :
- Objets personnels uniquement : vous ne pouvez pas acheter pour revendre
- Pas de caractère habituel : quelques ventes par an, pas une activité régulière
- Absence d’intention lucrative : vous revendez à perte ou au prix d’achat
- Pas de stock constitué : vous ne détenez pas de marchandises en quantité
Un exemple concret ? Vous vendez votre ancien canapé sur Leboncoin et quelques vêtements sur Vinted chaque mois. Cette activité reste dans le cadre de la vente occasionnelle. Vous n’avez aucune démarche à effectuer.
En revanche, si vous achetez régulièrement des vêtements en solde pour les revendre avec marge, vous basculez dans l’activité commerciale. La frontière semble floue, mais l’administration fiscale dispose d’indicateurs précis.
Quand devient-on professionnel ?
Le passage à l’activité professionnelle se caractérise par plusieurs signaux cumulatifs. L’URSSAF et les services fiscaux analysent votre situation selon des critères objectifs.
Voici les principaux indicateurs :
- Régularité des ventes : plus de 10-15 transactions par mois
- Volume de chiffre d’affaires : au-delà de 3 000 € annuels
- Achat pour revente : vous approvisionnez spécifiquement pour vendre
- Publicité ou communication : vous faites la promotion de vos produits
- Stock organisé : vous détenez des marchandises en quantité
- Recherche systématique de profit : vous optimisez vos marges
Dès qu’au moins trois de ces critères sont réunis, vous exercez une activité professionnelle. L’absence de déclaration constitue alors du travail dissimulé, passible de sanctions.
Les risques sont réels. L’administration peut remonter jusqu’à trois ans en arrière. Vous devrez payer les cotisations sociales, les impôts, plus des pénalités pouvant atteindre 45% des sommes dues. Sans compter les amendes pénales allant jusqu’à 45 000 € et trois ans d’emprisonnement pour travail dissimulé.
Un vendeur de sneakers sur Vinted qui achète régulièrement des modèles limités pour les revendre avec 50% de marge ? Il exerce clairement une activité commerciale non déclarée. Un particulier qui vide son placard deux fois par an ? Aucun problème.
Les seuils et critères qui obligent à créer une entreprise
Les règles fiscales françaises fixent des plafonds précis. Au-delà de certains montants ou volumes, l’immatriculation devient obligatoire. Connaître ces seuils vous permet d’anticiper vos obligations.
Les plafonds de chiffre d’affaires 2024
Le régime de la micro-entreprise fixe des seuils de chiffre d’affaires à ne pas dépasser. Ces montants déterminent votre obligation de créer une structure juridique.
Pour 2024, les plafonds sont les suivants :
| Type d’activité | Seuil micro-entreprise | Seuil franchise TVA |
|---|---|---|
| Vente de marchandises | 188 700 € | 91 900 € |
| Prestations de services | 77 700 € | 36 800 € |
| Activités libérales | 77 700 € | 36 800 € |
Ces montants représentent le chiffre d’affaires annuel brut, pas le bénéfice. Si vous vendez pour 100 000 € de produits achetés 70 000 €, votre chiffre d’affaires est de 100 000 €.
Attention : ces seuils ne vous autorisent pas à vendre sans être déclaré jusqu’à ces montants. Ils définissent simplement le régime fiscal applicable une fois votre activité créée.
En réalité, dès le premier euro généré dans une logique commerciale (achat pour revente, régularité, recherche de profit), vous devez vous immatriculer. Les seuils concernent uniquement le maintien dans le régime simplifié de la micro-entreprise.
Les indicateurs de professionnalisation
Au-delà des montants, plusieurs signes révèlent une activité professionnelle. L’administration fiscale ne se base pas uniquement sur le chiffre d’affaires pour qualifier votre activité.
Les critères analysés incluent :
L’intention commerciale : Vous achetez des produits spécifiquement pour les revendre ? Vous prospectez activement des clients ? Ces comportements caractérisent une activité commerciale, même avec un faible chiffre d’affaires.
La constitution de stock : Détenir plus de 10-15 articles similaires en attente de vente signale une organisation professionnelle. Un particulier ne stocke pas 30 paires de baskets identiques.
Les investissements publicitaires : Créer des comptes Instagram dédiés, lancer des publicités Facebook, ou référencer vos produits sur Google Shopping ? Ces actions dépassent largement le cadre de la vente occasionnelle.
La régularité des transactions : Vendre chaque semaine, même de petits montants, établit un caractère habituel. Trois ventes par semaine pendant trois mois suffisent à caractériser une activité régulière.
L’organisation logistique : Disposer d’un espace de stockage dédié, d’emballages professionnels, ou d’outils de gestion des commandes révèle une structure entrepreneuriale.
Les sanctions possibles
Vendre sans être déclaré expose à des conséquences financières et pénales graves. L’administration dispose de moyens de contrôle puissants, notamment via les plateformes de vente en ligne.
Les risques encourus :
Redressement fiscal : Paiement rétroactif de l’impôt sur le revenu sur trois ans, avec majoration de 40% pour mauvaise foi ou 80% pour manœuvres frauduleuses.
Cotisations sociales : L’URSSAF peut réclamer jusqu’à cinq ans de cotisations impayées, majorées de 25% de pénalités. Sur 50 000 € de chiffre d’affaires non déclaré, cela représente environ 15 000 € de cotisations plus 3 750 € de pénalités.
Sanctions pénales : Le travail dissimulé constitue un délit. Les peines peuvent atteindre 45 000 € d’amende et trois ans d’emprisonnement. Les plateformes de vente transmettent désormais automatiquement les données des vendeurs dépassant certains seuils.
Interdiction de gérer : En cas de récidive ou de fraude importante, vous pouvez être interdit de gérer une entreprise pendant cinq ans.
Un cas réel : en 2023, un vendeur de produits électroniques sur Leboncoin a été redressé pour 78 000 € après trois ans d’activité non déclarée. Entre impôts, cotisations et pénalités, il a dû payer plus que ce qu’il avait réellement gagné.
Quel statut choisir pour vendre en ligne ?

Une fois la décision prise de créer votre entreprise, reste à choisir le bon statut juridique. Chaque forme présente des avantages et contraintes spécifiques. Votre choix dépend de votre projet, de vos ambitions et de votre situation personnelle.
La micro-entreprise : le bon départ
Le statut de micro-entrepreneur (anciennement auto-entrepreneur) reste le choix privilégié pour débuter. Sa simplicité administrative et ses charges proportionnelles au chiffre d’affaires séduisent 60% des créateurs e-commerce.
Les avantages principaux :
Création instantanée : Inscription gratuite en ligne sur le guichet unique de l’INPI. Vous recevez votre numéro SIRET sous 48 à 72 heures. Aucun capital social à apporter.
Charges sociales allégées : Vous payez uniquement 12,3% du chiffre d’affaires pour la vente de marchandises, 21,2% pour les prestations de services. Pas de chiffre d’affaires, pas de cotisations.
Comptabilité simplifiée : Un simple livre des recettes suffit. Pas de bilan comptable obligatoire. Vous gérez votre activité avec un tableur Excel.
Franchise de TVA : Sous les seuils de 91 900 € (vente) ou 36 800 € (services), vous ne facturez pas la TVA. Vos prix restent compétitifs.
Les limites à connaître :
Plafonds de chiffre d’affaires : Au-delà de 188 700 € (vente) ou 77 700 € (services), vous devez basculer vers une société. Ces seuils peuvent freiner votre croissance.
Charges non déductibles : Vous ne pouvez pas déduire vos frais réels (achats, publicité, déplacements). Le calcul se fait sur un abattement forfaitaire de 71% pour la vente, 50% pour les services.
Protection sociale limitée : Les cotisations réduites impliquent des droits sociaux moindres (retraite, chômage, prévoyance).
Crédibilité variable : Certains clients professionnels préfèrent travailler avec des sociétés. Le statut peut limiter vos opportunités B2B.
La micro-entreprise convient parfaitement pour tester une idée, démarrer avec un budget limité, ou gérer une activité complémentaire. Plus de 70% des e-commerçants débutants choisissent ce statut.
Les sociétés unipersonnelles : pour se développer
Lorsque votre activité dépasse les plafonds de la micro-entreprise ou nécessite plus de crédibilité, les sociétés unipersonnelles s’imposent. EURL et SASU offrent un cadre juridique plus structuré.
L’EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée) :
Forme unipersonnelle de la SARL, l’EURL protège votre patrimoine personnel. Seul le capital social engage votre responsabilité en cas de difficultés.
Caractéristiques principales :
- Capital social libre : de 1 € à plusieurs milliers selon vos besoins
- Régime social TNS (Travailleur Non Salarié) : cotisations sociales d’environ 45% du bénéfice net
- Imposition sur le revenu ou sur les sociétés : vous choisissez le régime fiscal le plus avantageux
- Comptabilité complète obligatoire : nécessite un expert-comptable (1 200 à 2 500 € annuels)
La SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle) :
Version unipersonnelle de la SAS, la SASU offre plus de flexibilité. Elle séduit les entrepreneurs souhaitant se verser un salaire et bénéficier du régime général de la Sécurité sociale.
Avantages spécifiques :
- Statut de président assimilé salarié : protection sociale complète (maladie, retraite, chômage sous conditions)
- Souplesse statutaire : vous définissez librement les règles de fonctionnement
- Crédibilité renforcée : image professionnelle auprès des partenaires et banques
- Facilité de transformation : passage en SAS simplifié si vous souhaitez vous associer
Le coût reste plus élevé : comptez 2 000 à 3 500 € annuels entre expert-comptable, assurance et formalités. Les charges sociales atteignent 70 à 82% du salaire net versé.
Quel statut pour votre projet ?
Le choix du statut dépend de quatre facteurs principaux : votre chiffre d’affaires prévisionnel, vos besoins en protection sociale, votre situation personnelle et vos ambitions de croissance.
Voici un tableau comparatif pour vous guider :
| Critère | Micro-entreprise | EURL | SASU |
|---|---|---|---|
| Chiffre d’affaires max | 188 700 € (vente) | Illimité | Illimité |
| Charges sociales | 12,3% à 21,2% du CA | ~45% du bénéfice | ~70% du salaire |
| Protection sociale | Minimale | Correcte (TNS) | Optimale (salarié) |
| Comptabilité | Simplifiée | Complète | Complète |
| Coût annuel | < 500 € | 1 500- |
Comment lancer votre activité e-commerce sereinement et en toute légalité

Étape 1 : Enregistrer votre entreprise en ligne
La déclaration d’activité se fait désormais via le guichet unique de l’INPI, plateforme centralisée qui a remplacé les CFE (Centres de Formalités des Entreprises) depuis janvier 2023. Vous y créez votre dossier en quelques clics, renseignez votre activité principale (commerce de détail, artisanat, services), et obtenez votre SIRET sous 48 à 72 heures.
Pour une micro-entreprise, le processus prend environ 15 minutes et ne coûte rien. Vous devrez fournir une pièce d’identité, un justificatif de domicile de moins de trois mois, et une déclaration sur l’honneur de non-condamnation. Si vous exercez une activité artisanale, l’immatriculation au Répertoire des Métiers devient obligatoire — attention, elle peut engendrer des frais de Chambre des Métiers.
Une fois immatriculé, vous recevez votre numéro SIRET, votre code APE (qui identifie votre secteur d’activité), et vos identifiants fiscaux. Conservez précieusement ces documents : vous en aurez besoin pour ouvrir un compte bancaire professionnel et déclarer vos revenus.
Étape 2 : Respecter le cadre légal du e-commerce
Vendre en ligne impose des obligations spécifiques que vous ne pouvez pas ignorer. Votre site doit afficher des mentions légales complètes : raison sociale, adresse du siège, numéro SIRET, capital social, coordonnées de contact, et numéro de TVA intracommunautaire si vous êtes assujetti.
Les Conditions Générales de Vente (CGV) constituent un autre pilier incontournable. Elles doivent préciser les caractéristiques des produits, les prix TTC, les frais de livraison, les modalités de paiement, et le droit de rétractation de 14 jours. Ce délai légal permet à vos clients de retourner un produit sans justification — sauf exceptions (produits personnalisés, denrées périssables, contenus numériques téléchargés).
Le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) vous impose également de protéger les données personnelles de vos clients. Vous devez informer vos visiteurs de l’usage que vous faites de leurs informations, obtenir leur consentement explicite pour l’envoi d’emails marketing, et leur garantir un droit d’accès, de modification et de suppression de leurs données.
La transparence rassure vos clients et vous protège juridiquement. Un site conforme inspire confiance et réduit considérablement les litiges potentiels.
Tester son idée sans créer d’entreprise, les options légales
Les alternatives temporaires pour valider votre concept
Vous hésitez encore à franchir le pas de la création d’entreprise ? Les coopératives d’activité et d’emploi (CAE) offrent une solution intermédiaire intéressante. Ces structures vous permettent de tester votre activité sous leur ombrelle juridique : vous facturez via la coopérative, qui se charge de toutes les formalités administratives et sociales. Vous conservez 50 à 60 % de votre chiffre d’affaires après déduction des charges et de la commission de la CAE.
Cette formule convient parfaitement pour valider la viabilité de votre projet pendant 6 à 12 mois sans prendre de risque financier. Vous bénéficiez d’un accompagnement, de formations, et d’un réseau d’entrepreneurs. Une fois votre concept éprouvé, vous pouvez créer votre propre structure en toute sérénité.
Le portage salarial représente une autre option, mais il s’adresse plutôt aux prestations de services intellectuels qu’à la vente de produits. Pour le e-commerce pur, privilégiez les CAE ou lancez-vous directement en micro-entreprise — la simplicité administrative de ce statut le rend accessible même aux débutants.
Certaines plateformes comme Etsy ou Amazon permettent aussi de vendre quelques produits artisanaux sans immatriculation immédiate, mais dès que l’activité devient régulière (plusieurs ventes par mois), vous devez déclarer votre entreprise. Ces marketplaces peuvent d’ailleurs vous demander votre SIRET pour continuer à vendre.
Les bonnes pratiques pour débuter légalement
Même en phase de test, adoptez dès le départ une démarche transparente. Conservez tous vos justificatifs d’achat et de vente, notez vos dépenses dans un tableur, et anticipez vos obligations fiscales futures. Cette rigueur vous facilitera grandement la transition vers un statut officiel.
Ne sous-estimez pas l’importance de la traçabilité financière. Ouvrez un compte bancaire dédié à votre activité, même si ce n’est pas encore un compte professionnel obligatoire. Cette séparation claire entre vos finances personnelles et professionnelles vous évitera bien des complications en cas de contrôle fiscal.
Si vous vendez des produits nécessitant des autorisations spécifiques (cosmétiques, produits alimentaires, jouets pour enfants), renseignez-vous sur les normes applicables avant de commercialiser quoi que ce soit. Certains secteurs imposent des certifications, des déclarations sanitaires, ou des tests de conformité. Mieux vaut investir du temps dans cette recherche que de risquer une amende ou un retrait forcé de vos produits.
Enfin, testez votre offre auprès de votre entourage ou via des ventes privées sur les réseaux sociaux. Cette phase de pré-lancement vous permet d’ajuster votre positionnement, d’améliorer vos produits, et de construire une première base de clients fidèles avant l’ouverture officielle de votre boutique.
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À propos de l'auteur
À propos de l’auteur Haniel Compaoré
Consultant en stratégie digitale, j’aide et accompagne les entrepreneurs à mettre en place des solutions digitales performantes.
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